Valérie influenceuse et illustratrice incontournable nous dévoile ses projets post confinement . 11 mai 2020 – Posted in: blog, Interviews, Mode, Non classé – Tags: , , ,

Rencontre exclusive et confidences avec Valérie Sabban

DPB LE MAG : Peux-tu te présenter ?

Valérie Sabban : Je suis Valérie Sabban anciennement Mlle Valérie Style sur les réseaux sociaux et cela fait déjà 5 ans que je travaille sur les réseaux. A la base je suis styliste et illustratrice diplômée depuis 10 ans. J’ai démarré mon compte Instagram en décidant de montrer l’envers du décor de la mode puisque pendant 10 ans j’ai travaillé pour Chanel, Jean Paul Gaultier, Elie Saab pendant les fashion Week. Ce métier me faisait rêver et je montrai l’envers du décor. Maintenant je suis invitée aux défilés même parfois au premier rang donc ça montre vraiment mon évolution grâce aux réseaux sociaux. Je suis passée d’habilleuse, petite main, assistante photo, tous les petits jobs possible quand on sort de l’école à être invitée au premier rang (même des fois à côté de miss France) et parfois habillée par les grands couturiers.

DPB LE MAG : Quelle est ta touche perso sur les réseaux sociaux ?

Valérie Sabban : Sur mes réseaux sociaux j’ai décidé de parler de l’envers du décor de la mode mais aussi de montrer que ce n’est pas si inaccessible. Je suis une pionnière de la mode, je suis partie de rien, aucun réseau ni contact et malgré ça je me suis fais une place et un nom. Je parle aussi de mode, des looks que je porte au quotidien, de beauté parce que j’ai travaillé pendant 2 ans pour une marque de cosmétique. En tant qu’influenceuse on peut parler de tout ! J’ai découvert une réelle passion pour la beauté, le skincare et le makeup. Je ne me revendique pas du tout comme une professionnelle mais comme une consommatrice et je donne mon témoignage sur les produits que j’utilise. Je donne toujours un avis authentique et dis autant le bon que le mauvais (tout en restant correcte). Souvent sur Instagram il y a ce côté fake life, où l’on montre que les plus belles choses, on retouche tout alors que parfois ce qu’on veut c’est du vrai ! J’ai notamment fait des posts où je montrai mon acné, mes imperfections et j’en ai fait un filtre Instagram. J’ai fait ça pour décomplexer parce que quand on voit des filles super belles toute la journée on a du mal à s’identifier et à se dire qu’elles aussi elles sont normales. Ça fait du bien de montrer ses imperfections aussi ! J’essaye de me montrer sans makeup, sans retouches et suis contre la chirurgie si je n’en ai pas besoin. Pour un gros complexe pas de soucis mais j’essaie d’abord de donner des astuces simples du quotidien pour se sentir mieux. J’essaye d’éviter ce mouvement de chirurgie esthétique à outrance.

DPB LE MAG : Est-ce que durant cette période de confinement tu as été limitée dans ta créativité ou au contraire cela a permis de la développer ?

Valérie Sabban :Ça m’a énormément permis de développer ma créativité. J’ai pu faire le point sur ce que je voulais montrer, ce qui me plaisais. A la base les réseaux sociaux c’était pour partager ma passion pour la mode et partager mon métier de styliste/illustratrice mais c’est vrai que des fois cela nous permet de nous évader et de se prendre dans la vague de la tendance. On a souvent besoin de se développer sur les réseaux sociaux. Ce confinement m’a aidé à me retrouver, à recentrer mes objectifs et à être créative. J’ai eu du temps pour dessiner, je n’étais pas prise par autre chose donc j’ai mis à profit tout ce temps. J’ai pu beaucoup dessiner, faire du contenu inédit mais aussi des partenariats que j’avais laissé en suspens. J’ai pu participer à des concours comme celui de Jimmy Choo où j’ai crée une chaussure que j’ai appelé résilience en référence au confinement que l’on vit en ce moment, un symbole de cette période qui j’espère ne nous arrivera plus jamais.

DPB LE MAG : Quel manque as -tu ressenti pendant le confinement ?

Valérie Sabban : Ce sont les événements, d’être avec tous mes amis influenceurs. Ce que j’aime le plus dans l’univers de l’influence c’est échanger avec chacun car on a tous notre monde et les événements sont de belles opportunités pour des rencontres, du partage et de l’échange. Notamment l’événement dont je rêvais : les SBA by Easyparapharmacie mais en octobre ça sera encore mieux ! J’ai hâte que ça se termine et que ça soit de l’histoire ancienne.

DPB LE MAG : Comment as-tu géré ce confinement ?

Valérie Sabban : Je suis sortie de ma zone de confort et j’ai fait des choses que je n’avais jamais testé sur mon Instagram comme des lives. J’en ai fait avec des makeup artiste dont un qui travaille pour Chanel et aussi des recettes avec la marque Markal et c’était vraiment trop bien !

On a passé un super moment !

Pendant le confinement on se sent vite seule et ces lives m’ont permis de me rapprocher de ma communauté, d’en découvrir d’autres et de sortir de cette zone de confort ou juste je dessine et je réalise mes posts.

DPB LE MAG : Quels sont les influenceurs que tu suis ?

Valérie Sabban : Les influenceurs que je suis le plus ce sont ceux qui font de l’humour ! Je trouve ça génial ! J’aime beaucoup Maxime Gasteuil que je suis depuis ses débuts, j’avais même fait un partenariat avec lui il y a 3 ans. J’adore aussi meganvlt, elle est super créative, elle fait de la mode, de la beauté et de l’humour, elle est incroyable ! Elle est très naturelle, nous montre sa vie telle qu’elle est et me fait beaucoup rire. Pour le côté plus glamour, vie parfaite, femme d’affaire c’est Negin Mirsalehi. Elle est magnifique, chic, je ne rate jamais aucune post. J’adore ce qu’elle fait, ses produits pour les cheveux sont incroyables. Pour la petite touche du sud, j’adore chloebbbb, la marseillaise. Elle est jeune, avec beaucoup de classe et de talent. Son Instagram et sa chaîne YouTube sont géniaux, elle donne beaucoup de conseils. Et Caroline Receveur pour son côté business woman, elle est entrepreneuse et a su transformer son côté téléréalité en femme chic. J’ai déjà pu travailler avec elle pour sa marque de thé.

DPB LE MAG : Quel sont tes projets à venir ?

Valérie Sabban : Mon plus grand rêve quand j’ai démarré dans les réseaux sociaux c’était de créer ma marque. Mais quand j’ai commencé, je sortai de l’école, j’avais mes études à rembourser et je ne pouvais pas à nouveau emprunter pour monter ma marque. En plus de ça je n’avais aucun réseau dans la mode donc j’ai essayé de me faire connaître sur les réseaux sociaux en espérant être assez connue pour pouvoir monter ma marque . C’est toujours mon objectif .la bonne nouvelle c’est que ça arrive ! J’ai des collections qui vont arriver parce que des marques ont acheté mes dessins pour leurs produits et des lignes de vêtement qui vont sortir avec des jeunes créateurs. Mais je ne peux pas trop en dire !

DPB LE MAG : D’où vient ta passion pour le dessin ? Quels conseils pourrais-tu donner ?

Valérie Sabban : Le dessin c’est mon talent. Je dessine depuis que je suis toute petite. Le conseil que je peux donner à quelqu’un qui veut vraiment percer dans ce domaine c’est de s’entrainer. En école de mode on ne va pas vous apprendre à dessiner, moi je n’ai jamais eu de vrai cours de dessin où l’on apprend les bases. J’ai travaillé avec mon œil, mon coup de crayon et de l’entrainement. Je dessine tous les jours, je reproduis des choses qui me plaise et c’est le plus important. Dessinez des choses qui vous plaisent, qui vous font rêver. Pour moi ce sont les chaussures, j’adore dessiner des chaussures, et les petits modèles des influenceuses. Il faut persévérer à faire ce qu’on aime car ça paie !

DPB LE MAG : Es-tu transparente sur tes réseaux sociaux ?

Valérie Sabban : Oui je suis très transparente avec ma communauté. Je montre les hauts car c’est grâce à ma communauté et aux personnes qui me soutiennent que j’en suis là mais aussi les coups de mou. La vie c’est ça, ce ne sont pas que des bons côtés y a aussi du down et il faut le montrer. Sur les réseaux sociaux on se compare énormément et on peut perdre confiance en soit facilement et sa motivation. Ça demande beaucoup de travail, c’est 24/7, c’est un vrai travail, ce n’est pas que poster des jolies photos. La seule vraie récompense qu’on a ce sont les likes et les commentaires. Quand Instagram décide de changer l’algorithme et de vous cacher , de désabonner des personnes c’est difficile et je ne le cache pas à ma communauté, je suis trop entière pour ça. Ma communauté c’est comme mes copines, ça fait 5 ans qu’on se connait, qu’on discute, qu’on partage et je trouve ça vraiment important. Et comme les amis on partage tous, les bons comme les mauvais moments. Être vrai c’est ce qui marche le mieux et c’est pour ça qu’on est très attaché avec mes abonnés.

DPB LE MAG : Quels ont été les aspects positifs du confinement ?

Valérie Sabban : Malgré ce petit coup de mou, ça m’a permis de me rapprocher de ma communauté. Des abonnés qui ne m’adressaient pas de messages sont venus vers moi en me donnant plein de messages d’amour. Recevoir des messages de ses abonnés qui vous disent que vous êtes leur rayon de soleil de la journée, que sans vous leurs vies ne seraient pas pareil et que vous leur apportez beaucoup c’est ce qu’il y a de plus touchant, c’est la plus belle récompense. Les 70k abonnés je n’arrive pas à me les quantifier tant que je ne les ai pas vu en vrai, je ne sais pas ce que ça représente. C’est incroyable et le fait d’être autant suivi c’est ma force pour continuer et persévérer. En retour j’essaie tout le temps de les gâter avec des concours et c’est la plus belle chose qu’on puisse faire, d’offrir. Y a des personnes qui ne peuvent pas se permettre de s’acheter des rouges à lèvres donc quand j’en offre ça me fait vraiment plaisir et je vais continuer ! J’ai beaucoup de projet comme lancer ma ligne des marques, créer des tableaux avec mes illustrations, de la cosmétique. J’ai vraiment hâte d’aller au bout de mes rêves et de continuer à être sur les réseaux sociaux pour partager mes passions.

la bonne nouvelle c’est que ça arrive ! J’ai des collections qui vont arriver parce que des marques ont acheté mes dessins pour leurs produits et des lignes de vêtement qui vont sortir avec des jeunes créateurs. Mais je ne peux pas trop en dire ! DPB : D’où te viens la passion pour le dessin ? Quels conseils pourrais-tu donner ? VS : Le dessin c’est mon talent. Je dessine depuis que je suis toute petite. Le conseil que je peux donner à quelqu’un qui veut vraiment percer là-dessus c’est de s’entrainer. En école de mode on ne va pas vous apprendre à dessiner, moi je n’ai jamais eu de vrai cours de dessin où on apprend les bases. J’ai travaillé avec mon œil, mon coup de crayon et de l’entrainement. Je dessine tous les jours, je reproduis des choses qui me plaise et c’est le plus important. Dessinez des choses qui vous plaisent, qui vous font rêver. Pour moi ce sont les chaussures, j’adore dessiner des chaussures, et les petits modèles des influenceuses. Il faut persévérer à faire ce qu’on aime car ça paie ! DPB : Es-tu transparente sur tes réseaux sociaux ? VS : Oui je suis très transparente avec ma communauté. Je montre les hauts car c’est grâce à ma communauté et aux personnes qui me soutiennent que j’en sui là mais aussi les coups de mou. La vie c’est ça, ce ne sont pas que des bons côtés y a aussi du down et il faut le montrer. Sur les réseaux sociaux on se compare énormément et on peut perdre confiance en soit facilement et sa motivation. Ça demande beaucoup de travail, c’est 24/7, c’est un vrai travail, ce n’est pas que poster des jolies photos. Les seules vraies récompenses qu’on a ce sont les likes et les commentaires. Quand Instagram décide de changer l’algorithme et de vous cacher de de désabonner des personnes c’est difficile et je ne le cache pas à ma communauté, je suis trop entière pour ça. Ma communauté c’est comme mes copines, ça fait 5 ans qu’on se connait, qu’on discute, qu’on partage et je trouve ça vraiment important. Et comme les amis on partage tous, les bons comme les mauvais moments. Être vrai c’est ce qui marche le mieux et c’est pour ça qu’on est très attaché avec mes abonnés. DPB : Que t’as apporté ce confinement ? VS : Malgré ce petit coup de mou, ça m’a permis de me rapprocher de ma communauté. Des abonnés qui ne m’adressaient pas de messages sont venu vers moi en me donnant plein de messages d’amour. Recevoir des messages de ses abonnés qui vous disent que vous êtes leur rayon de soleil de la journée, que sans vous leurs vies ne serait pas pareil et que vous leur apportez beaucoup c’est ce qu’il y a de plus touchant, c’est la plus belle récompense. Les 70k abonnés je n’arrive pas à me les quantifier tant que je ne les ai pas vu en vrai, je ne sais pas ce que ça représente. C’est incroyable et le fait d’être autant suivi c’est ma force pour continuer et persévérer. En retour j’essaye de tout le temps les gâter avec des concours et c’est la plus belle chose qu’on puisse faire, d’offrir. Y a des personnes qui ne peuvent pas se permettre de s’acheter des rouges à lèvres donc quand j’en offre ça me fait vraiment plaisir et je vais continuer ! J’ai beaucoup de projet comme lancer ma ligne des marques, créer des tableaux avec mes illustrations, de la cosmétique. J’ai vraiment hâte d’aller au bout de mes rêves et de continuer à être sur les réseaux sociaux pour partager mes passions.